"Le clou que j'ai enfoncé" Daniel Meurois Givaudan
Aucune guérison ne s’opère tant que l’on gratte ses propres plaies par la seule action du mental qui dissèque. Apprenons à respirer la vie différemment et, dans le même élan réapprenons à nous aimer… sortir de la dualité, ne plus étiqueter ni juger.
Nous sommes ce que nous voulons bien faire de nous… et ce que nous acceptons que la société fasse de nous. Nous ne sommes pas coupable de ce que nous sommes mais responsable.
Nos vieilles habitudes sont nos prétextes, nos refuges et nos maîtres.
On fige notre âme, on rétrécit notre vie en refusant d’avancer lorsque le vent monte afin de pousser sa barque plus loin.
Avoir le courage d’aller vers une autre liberté, la liberté d’être nous-mêmes !
Le plus beau poisson s’attrape toujours au large, il appartient aux porteurs de courage, à ceux qui dépassent la peur des vagues, à ceux qui reconnaissent le vent comme leur ami et leur protecteur.
La véritable mort commence dès que nous délimitons notre paysage à la façon d’un champ. Les clôtures ne nous protègent pas, elles nous emprisonnent.
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